🖌️ Libertas Gentis : l’inauguration d’une fresque à Liège
À Liège, la fresque monumentale « Libertas Gentis » de NOIR Artist a été inaugurée ce samedi 13 septembre 2025. Une œuvre puissante, née de l’imagination des frères Gilson, qui transforme la rue Léon Frédéricq en véritable manifeste urbain.
On se plaisait à imaginer Michel-Ange, nuque cassée, suspendu à son échafaudage, peignant le plafond de la Chapelle Sixtine sans qu’aucun témoin n’en garde trace. Aujourd’hui, à Liège, nous avons eu droit à l’exact opposé : une fresque monumentale, « Libertas Gentis », et une inauguration officielle, en présence de son créateur, NOIR Artist.
Perché sur sa nacelle, Lucien Gilson (alias NOIR Artist), a offert aux Liégeois une œuvre urbaine forte, vibrante, saturée de symboles. Noir et or, hyperréalisme et calligraphies : la façade de la rue Léon Frédéricq devient un manifeste visuel où se mêlent liberté, identité et puissance collective.
L’inauguration de ce samedi 13 septembre 2025 n’était pas seulement l’aboutissement d’un chantier artistique, mais un véritable moment de rencontre : entre l’Art et la ville, entre les passants et une fresque qui appartient déjà à leur paysage.
🌟 Un duo à l’honneur
Cette fresque s’inscrit dans une reconnaissance plus large. NOIR Artist est l’invité d’honneur du Parcours d’Artisans 2025, sous le titre évocateur : « Un voyage créatif au cœur de Liège ». Les deux frères, Lucien et Martin Gilson, y sont célébrés comme des figures incontournables de la scène artistique contemporaine liégeoise.
Leur démarche ? Explorer les frontières de l’art visuel à travers des fresques monumentales, des peintures, des installations, toujours avec une identité visuelle affirmée et un engagement profond envers leur ville.
👁️ L’art dans la rue, pour tous
Là où Michel-Ange peignait un plafond sacré pour les papes, NOIR Artist offre aux Liégeois un mur vivant, ouvert à tous les regards. Une œuvre publique, ancrée dans le quotidien, qui témoigne de la vitalité du street art à Liège.
Et si le maître florentin avait eu ses réseaux sociaux, il aurait sans doute salué ce travail d’un geste admiratif : un pinceau tendu, et un discret « like » à ce confrère du XXIe siècle.



